Comment DDEL parvient-elle à être meilleur marché qu’une Banque Privée ou un gestionnaire actif traditionnel ?
-DDEL sélectionne des fonds passifs dont les frais courants (ongoing costs) sont peu élevés (entre 0.15% et 0.40%),
-DDEL choisit de travailler uniquement avec les banquiers dépositaires dont les frais de courtage et de droits de garde ont pu être favorablement négociés,
-DDEL limite le nombre de fonds. La diversification se trouve au sein même des fonds (par exemple, plus de 12.500 actions)
-DDEL limite le nombre de transactions en portefeuille et travaille avec des courtages plafonnés (80 € par transaction maximum). Comme nous ne sommes pas une banque, nous ne sommes pas tentés de réaliser plusieurs transactions pour augmenter notre chiffre d’affaires,
-DDEL investit uniquement dans des fonds fiscalement optimisés,
-DDEL n’a pas de budget marketing, n’organise pas de grands événements (soirée de gala, rallye automobile, tournoi de golf,…) et ne distribue pas de revues imprimées sur papier glacé,
-DDEL est animée par une petite équipe d’experts polyvalents.
La différence de prix est-elle justifiée ?
Le client bénéficie-t-il réellement d’un meilleur rendement ou d’un meilleur service ? Probablement que non…
Frais et inflation déduits, il n’est pas normal que le client ne retrouve qu’une partie de son investissement…C’est pourtant lui qui en supporte tous les risques. Pour occulter ce manque à gagner, certains gestionnaires graissent la patte de leurs clients en les invitant à participer à de magnifiques événements et en leur proposant quantité de services qu’ils n’ont jamais demandé.
Le client ne préférerait-il pas que son gestionnaire se concentre sur ce pourquoi il le paye réellement, à savoir une gestion performante ?
Quel est l’impact des frais sur le rendement attendu à long terme ?
Trop peu d’investisseurs en ont conscience mais, sur le long terme, l’impact des frais est dévastateur…
Pour illustrer cet impact, nous prenons comme hypothèse un portefeuille géré par DDEL composé de 50% en actions et 50% en obligations, dégageant un rendement annualisé de 6.6% *(net de tous frais, soit un total d’environ 1%) pendant 30 ans.