L’an dernier, Nicolas, un jeune stagiaire de 20 ans est venu nous aider pour la digitalisation et le classement de nos dossiers.
Intéressé par les marchés financiers, il nous dit qu’il souhaiterait investir mais trouve le monde financier complexe et estime ne pas avoir les capitaux suffisants pour se constituer un portefeuille.
Nous lui expliquons que la création de richesse peut être assez simple. Cela requiert principalement de la discipline, un plan d’investissement, un peu de temps et le prix d’une tasse de café.
Il nous dit ne pas avoir de capacité d’épargne alors que tous les jours, nous le voyons arriver avec un solide petit déjeuner acheté en station de métro. Une mauvaise habitude, nous dit-il… Nous lui demandons combien il dépense pour son petit déjeuner par semaine et par mois ? A 6 € par jour, il calcule rapidement que cet extra lui coûte près de 40 € par semaine et 160 € par mois.
Pour l’exercice, nous proposons à Nicolas de lui montrer ce que donnerait cet argent s’il était placé mensuellement dans un plan d’épargne systématique pondéré à 80% en actions globalement diversifiées et à 20% en obligations de qualité.
Même s’il pouvait facilement imaginer sacrifier son petit-déjeuner à l’extérieur contre un petit-déjeuner chez lui, il était assez dubitatif quant au fait que cette épargne mensuelle puisse avoir un impact sur sa situation financière à long terme.
Son exemple permet d’expliquer le miracle des intérêts composés!
Avec une contribution mensuelle de 160 € et un rendement annuel moyen de 7% (portefeuille DDEL 80% actions – 20% obligations net de frais)*, ses économies s’accumuleraient progressivement jusqu’à plus de 632.000 € au jour de sa retraite. Et cela, sans épargner un euro de plus.